Pompes funèbres : Versailles (78000) Afficher la carte

Choisir des pompes funèbres à Versailles

La commune de Versailles, située dans le département des Yvelines (région Île-de-France), était composée, en 2018, de 85 205 habitants, qui répondaient au gentilé de Versaillais et Versaillaises. 

Une crémation à Versailles coûte aujourd’hui environ 2 622 euros alors que l’inhumation est légèrement moins onéreuse car elle tourne autour de 1 940 euros. 

En 2020, on déclarait 699 décès à Versailles.  

Aussi, la tendance est à la crémation. Celle-ci est davantage favorable au respect de l’environnement quand on sait combien un enterrement rejette des produits toxiques.  

Qu’est-ce qui caractérise la ville de Versailles ? 
La ville de Versailles est indissociable de son château ainsi que des figures de Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Sa galerie des glaces (où fut signé, en 1919, le traité de paix qui mit fin à la Première Guerre mondiale), ses jardins, le hameau de la Reine, le Petit Trianon font partie des lieux emblématiques. 

Mais Versailles, ce sont aussi des festivals, des expositions, de nombreux événements parmi lesquels le Mois de Molière, tous les ans, avec ses 250 spectacles, ou le Potager du Rock, Versailles Electro ou encore les spectaculaires Grandes Eaux Musicales nocturnes. 

Pourquoi faire appel aux pompes funèbres de Versailles ? 
Quand un décès à Versailles, les proches du défunt doivent procéder à la déclaration du décès auprès de l’état civil pour obtenir un acte de décès.  

Ensuite, ces derniers ont l’obligation légale de faire appel à un prestataire de pompes funèbres pour organiser ses obsèques. Ils disposent de 6 jours ouvrables pour entreprendre ces démarches, soutenus par le conseiller funéraire de leur choix ou de celui du défunt s’il avait souscrit un contrat obsèques de son vivant. 

Quelque soit les pompes funèbres dans les Yvelines, les familles sont sollicitées pour décider du type d’obsèques (inhumation ou crémation), choisir le cercueil ou l’urne cinéraire, orienter les soins pratiqués sur le défunt. Elles sélectionnent également la pierre tombale, la plaque funéraire ainsi que la marbrerie, les autres objets funéraires et les fleurs  

Peut-on être enterré avec ses animaux de compagnie ? 
Les articles L. 2223-3 et L. 2223-13 du Code général des collectivités territoriales ne permettent qu’aux humains d’être enterrés dans un cimetière. Le maire ne peut donc pas accepter l’inhumation d’un animal domestique, ni même de ses cendres. C’est le principe de dignité, défini par le Code Civil, qui est la source de cette interdiction. La loi autorise pourtant à placer des objets familiers dans le cercueil du défunt (bijoux, boîtes…), mais ni chien, ni chat, ni NAC. 

Plusieurs États tels que la Suisse, l’Allemagne ou New-York acceptent ce type d’inhumation hybride. 

Loïc Dombreval, député des Alpes-Maritimes, a donc déposé une proposition de loi visant à autoriser le fait d’être inhumé avec les cendres de son compagnon à 4 pattes. À suivre…
(crédit photo : iStock)