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Choisir des pompes funèbres dans la Nièvre

En France, Nevers, Cosne-Cours-sur-Loire et Varennes-Vauzelles sont les trois villes les plus habitées du département de la Nièvre, situé dans la région Bourgogne-Franche-Comté. Département de résidence de Bernadette Soubirous, bergère originaire du Sud-Ouest arrivée en 1866 à Nevers et faite sainte le 8 décembre 1933, la Nièvre organise chaque année la fête religieuse Notre-Dame de Lourdes. Celle-ci rassemble entre 150 000 et 200 000 fidèles, venant visiter la chapelle et l’Espace Bernadette. La Nièvre demeure, malgré tout, un département assez pauvre. Le revenu moyen des Nivernais est estimé autour de 2 028 euros net mensuels.  

La Nièvre fait partie des départements dont la population diminue : les jeunes rejoignent la région parisienne et seule la population vieillissante reste. Cette situation explique pourquoi, en 2019, 2 896 décès y ont été recensés par l’INSEE. La Nièvre compte 44 sociétés de pompes funèbres sur l’ensemble de son territoire. Pour chacune de ces disparitions, les pompes funèbres du département ont pris en charge ces êtres chers disparus et organisé leurs funérailles avec les familles. Dans le cas d’une inhumation, les pompes funèbres en charge des obsèques ont un large choix de cercueils. Le département compte également un crématorium à Nevers. 

Suite au décès, le conseiller funéraire accueille les familles nivernaises pour organiser les funérailles de leur proche décédé. Durant les six jours ouvrables qui suivent, ils élaborent ensemble la cérémonie d’hommage au défunt, à l’image de ce qu’il représentait pour sa famille et ses amis. 
Dans le respect des dernières volontés du disparu et des souhaits de chaque membre de la famille, le conseiller funéraire vous accompagne dans la préparation d’obsèques dignes, uniques et émouvantes.  

En 2019, 605 Nivernais sont décédés à leur domicile. Dans une telle situation, la première chose à faire reste de contacter le SAMU ou un médecin afin d’obtenir un certificat médical. Il faut ensuite aller déclarer le décès à la mairie du lieu de la disparition, muni de la pièce d’identité du défunt et de celle du déclarant, présenter le livret de famille et le certificat médical. L’officier d’état civil vous remet alors un acte de décès vous permettant de contacter les pompes funèbres pour qu’elles prennent le relais et organisent les funérailles. Parmi les démarches prises en charge, le transfert du corps au plus tard 48 heures après le décès.  

La même année, dans la Nièvre, 1 367 personnes ont trouvé la mort à l’hôpital et 418 dans des établissements pour personnes âgées. Dans ces cas-là, le personnel soignant constate le décès et le directeur de l’établissement s’occupe de la déclaration de décès auprès de la mairie. Le défunt est ensuite conduit, dans les deux cas, à une chambre mortuaire où il reste jusqu’au jour des obsèques. Certains hôpitaux n’en disposent pas, le corps peut alors être transféré vers celle d’un autre établissement ou dans une chambre funéraire privée. 

Si le défunt avait souscrit, de son vivant, un contrat obsèques, les pompes funèbres choisies lors de cette souscription se chargent de respecter ses dernières volontés (choix du cercueil, type de cérémonie, choix des fleurs et gerbes, rédaction et publication de l’avis de décès, choix des objets funéraires, de la marbrerie…). Cette prestation d’anticipation permet d’épargner à la famille la prise de ces décisions difficiles à l’annonce du décès. Chaque membre de la famille peut alors se laisser porter par les experts funéraires en charge des événements et se consacrer à son deuil. Une fois l’avis de décès publié sur un site spécialisé ou dans un journal de presse, les pompes funèbres veillent au respect de chaque étape précédant les funérailles, jusqu’à la fin de la cérémonie.  

(Crédit photo : istock)