Pompes funèbres : Meurthe-et-Moselle (54) Afficher la carte

Choisir des pompes funèbres en Meurthe-et-Moselle

En France, Nancy, Vandœuvre-lès-Nancy et Lunéville sont les trois villes les plus densément peuplées du département de Meurthe-et-Moselle, qui se trouve dans la région du Grand Est. On estime que le montant moyen du revenu de ses habitants, les Meurthois, tourne autour de 2 220 euros net mensuels, ce qui en fait un département plutôt aisé. La vie des Meurthois est rythmée par des célébrations religieuses multiples et notamment celles liées au saint patron de la Lorraine, Saint-Nicolas. Un grand festival en son honneur prend place à Nancy et dure le temps d’un week-end au cours duquel les festivités battent leur plein. 

En 2019, 7 185 décès ont été recensés par l’Insee en Meurthe-et-Moselle. Les établissements funéraires du département, 99 pompes funèbres, ont alors pris en charge ces êtres chers disparus et ont organisé leurs funérailles avec les familles. Aussi, 3 crématoriums proposent leurs services pour les crémations. 

À la suite du décès, le conseiller funéraire accueille les familles meurthoises pour organiser les funérailles de leur proche décédé. Ensemble, ils disposent de six jours ouvrables pour concevoir et planifier la cérémonie d’hommage du défunt et intégrer les interventions de tous les proches qui le souhaitent. Dans le respect des dernières volontés du disparu et des souhaits de chaque membre de la famille, le conseiller funéraire accompagne les familles dans la préparation d’obsèques dignes, à l’image de l’être cher disparu et émouvantes. Lors de la cérémonie, chacun doit pouvoir s’exprimer et rendre hommage au défunt. Par exemple, les personnes qui le souhaitent peuvent tout à fait faire un discours pour évoquer un souvenir, une anecdote, sélectionner une musique qui lui fait penser au défunt, réciter un poème chargé d’émotions ou encore lire un texte personnel, rédigé avec amour. 

Pour rendre hommage aux défunts et leur garantir le repos spirituel qu’ils désirent, 56 paroisses catholiques, 18 églises protestantes, 4 synagogues et 23 mosquées, existent et offrent aux familles endeuillées un cadre religieux adapté à leur foi pour se recueillir. 

Lorsque le défunt avait souscrit de son vivant, un contrat obsèques, les pompes funèbres choisies lors de cette souscription se chargent de respecter ses volontés (choix du cercueil, type de cérémonie, choix des fleurs et gerbes de deuil, écriture et parution de l’avis funéraire, choix des objets funéraires, de la marbrerie…). Cette prestation d’anticipation allège les membres de la famille, qui n’ont pas à prendre des décisions aussi pénibles dans un moment où ils préfèrent se consacrer à leur deuil. Une fois l’avis de décès publié dans un journal de presse ou sur un site spécialisé dans les annonces funéraires, les pompes funèbres veillent au bon déroulement de chaque étape précédant les obsèques, jusqu’à la fin de la cérémonie. 

En 2019, 1 151 Meurthois sont décédés chez eux. Dans cette situation, la première chose à faire reste d’appeler un médecin ou le SAMU pour obtenir un certificat médical précisant la cause, l’heure, la date et le lieu du décès. Il faut ensuite se rendre à la mairie du lieu de décès pour le déclarer. Le proche qui effectue cette démarche doit être muni de la pièce d’identité du déclarant, de celle du défunt, du livret de famille et du certificat médical. Un acte de décès intégral (en plusieurs copies) est alors délivré par l’officier d’état civil et les pompes funèbres peuvent être contactées pour prendre en charge les funérailles. Le transfert du corps doit se faire au plus tard 48 heures après le décès. 

Si le décès survient à l’hôpital, comme ce fut le cas pour 4 037 personnes en 2019 en Meurthe-et-Moselle, ou dans un établissement d’accueil des personnes âgées, où 897 Meurthois ont été déclarés décédés la même année, le personnel soignant constate le décès et le directeur de l’établissement s’occupe de la déclaration de décès auprès de la mairie concernée. Le défunt est ensuite conduit, dans les deux cas dans une chambre mortuaire où il reste jusqu’à la date des obsèques. Certains hôpitaux n’en ont pas, le corps peut alors être transféré vers celle d’un autre établissement ou dans une chambre funéraire privée de pompes funèbres.